Hellfest 2017

Une fois n’est pas coutume, je vais partager ici avec vous un résumé de mon week-end en Enfer, car oui, je me suis cette année rendue au Hellfest pour la toute première fois après 34 années de vie ! Un nombre non négligeable de groupes me suscitant un fort intérêt s’y produisant cette année, je décide sur un coup de tête de me lancer dans l’aventure et parviens contre vents et marées à me procurer un pass 3 jours d’occaz, une tente, un sac de couchage et une bonne réserve de sommeil pour les deux journées infernales qui m’attendent*.

Vendedi 16 juin, de bon matin, j’ai rencontré le train gare Montparnasse, où je croise quelques festivaliers, cependant pas autant que je l’aurais pensé. 3 heures de voyage plus tard et un message de la SNCF souhaitant aux voyageurs un bon festival, après avoir traversé un village de Clisson fort joli et apprêté pour l’occasion, me voici aux portes de l’Enfer, sous une chaleur dantesque**.

L’effet « waouh » passé, je cherche tant bien que mal à localiser l’entrée du camping histoire d’y déposer mon barda, chose que j’aurai grande difficulté à faire, la majorité des campeurs ayant investi les lieux dès la veille. Après dix bonnes minutes de marche, je trouve enfin un emplacement parfait où monter ma Qu****a verte *insérer rayon de lumière et chants cantiques*. Libérée, délivrée, pomponnée, requinquée, je confie à Gérard, mon vampire de poche, la mission de garder la tente en mon absence et de m’aider à la retrouver lors de mon retour nocturne. Eh bien le moins qu’on puisse dire c’est que Gérard ne sera pas aussi rigoureux que je l’avais espéré, mais tout cela bien sûr je l’ignore encore et quelques prises de repères plus tard, les choses sérieuses peuvent enfin commencer. Hellfest, here I come.


Voici Gérard.

Comme il fait soif, je me sens dans l’obligation d’acheter une bière, alors que moi, en vrai, la bière, j’aime pas tellement ça.

Avant de poursuivre, je voudrais apporter quelques précisions sur mon rapport au metal (le genre musical hein, pas le matériau, entendons-nous bien) ; ma connaissance de ce qui se fait dans le milieu est plutôt succincte, je m’y mets progressivement et ma porte d’entrée vers le genre fut le power/folk/viking metal. Combinez ça avec le rock celtique, le pagan, l’ambiant ou encore le medieval folk, vous aurez un bon aperçu des styles qui m’inspirent.

Le 1er groupe programmé sur mon running order est Týr, originaire des Îles Féroé. J’avais déjà eu l’occasion de les voir en concert il y a looooongtemps lors d’une Paganfest, où j’étais très mal placée. Je me rattrape donc allègrement cette fois-ci.

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Lorsqu’on écoute Týr, on se trouve transporté au cœur des fjords enneigées, bercé par des légendes nordiques où il est question de dieux, de royaumes lointains, de courage, d’honneur, de batailles et de macareux.
– De macareux ?
– Bah oui, y’a des macareux aux Îles Féroé.
– ……..

Ils jouent mon morceau préféré, la magnifique Regin Smiður qui file la chair de poule.

Mes vidéos du concert ici.

Après cette introduction toute en beauté, je retrouve Mazaki aka Astrid, une amie rencontrée au dernier Trolls & Légendes que j’aurai toutes les difficultés du monde à croiser à nouveau durant ces 2 jours, puis réalisant que j’ai à nouveau soif je vais me forcer, encore, à boire une bière.


Oui bon, ça va.

Alors que je fais la queue, je papote avec mon voisin de devant et comme il se révèle Belge, nous en venons à évoquer ce pays que je connais si bien. En fin de compte, il m’offre un pichet d’1 litre (encore merci Rosny/Roni ?) et comme j’aime pas ça la bière,

…………………………………………….Je disais donc, comme j’aime ça mais que le pichet m’encombrait, le public de Powerwolf se dévoue pour m’aider à le vider, gloire à leur braverie (un mix entre « bravoure » et « beuverie »).

Le pichet vidé et rangé dans mon sac à dos (on est comme ça nous, les filles, on a l’esprit pratique ; c’est pour ça qu’on utilise des sacs à main), retour devant la scène Temple pour me délecter du second choix de mon running order, les Allemands de Corvus Corax (et si vous avez un doute sur leur nationalité, écoutez parler/crier le chanteur ; parfois on a l’impression qu’il nous dispute, du coup ça fait un peu peur). Découverts lors de jecépukelle édition de Trolls & Légendes, de suite ce groupe s’est classé dans mon top 10, parce que SIE SPIELEN DUDELSACK, EIN INSTRUMENT DAS ICH VIELE LIEBE oups, je voulais dire ils jouent de la cornemuse, un instrument que j’aime très fort, mais également de la flûte, du biniou, du tambour et j’en passe, insufflant à leur musique une énergie qui vous asticote l’instinct et vous pousse à danser coûte que coûte. Et puis j’adore quand ils tournent sur eux-mêmes en jouant de leurs instruments, c’est trop mignon. Hormis quelques grands classiques, ils nous gâtent avec une reprise du thème de la série Game of Thrones.


Mes vidéos du concert ici.

La soirée commence à peine et j’ai déjà les pieds en compote, néanmoins il faut rester brave pour affronter ce qui se profile à l’horizon, soit l’ouragan des Ramoneurs de Menhirs. C’est la première fois que je les vois en live et…waouh. Leur prestation d’ordinaire extraordinaire est magnifiée par le Bagad de Quimperlé (et dieu sait combien j’aime les bagads). C’est punk, c’est breton, le public est ivre (au propre et au figuré), les pogoteurs pogotent, les wallofdeatheurs wallofdeathent, les fauteuils roulants slament, la poussière s’abat en rafales façon Interstellar (même pas peur, en tant que Parisienne je subis bien pire au quotidien) ; seul petit regret, l’absence de la merveilleuse Louise Ebrel qui les accompagne notamment sur Menez Daou et Dañs Gwadek. En 1 mot comme en 100 : VIVE LA BRETAGNE (bon, ça fait 3 mots).
En attendant, je sors de là transformée en abominable bonne-femme des sables.


Mes vidéos du concert ici
.

La suite de la soirée s’annonce plus calme, je m’installe dans l’herbe face à un écran géant pour écouter Deep Purple (vu le monde, inutile de songer à s’en rapprocher d’avantage) et admirer le site s’habiller des couleurs de la nuit, avec lumières et effets pyrotechniques brûlants.

Je ménage surtout mes forces pour ce qui s’annonce après minuit, soit ma 2nde rencontre avec les pirates britanniques déjantés d’Alestorm, déjà vu lors d’une autre Paganfest et dans de mauvaises conditions. Cette fois, je me place devant mais pas trop, sur la droite de la scène pour ne pas me retrouver happée dans les pogos. Dernier concert de la journée (premier du début de la journée suivante plutôt), une foule impressionnante s’amasse sous le chapiteau de la Temple, pour une attente qui me parait interminable (la fatigue, sans doute). Enfin, peu après 1 heure du mat, Christopher et ses comparses investissent la scène. Et là, moi qui pensais avoir atteint le summum du public agité avec les Ramoneurs, je réalise que je m’étais trompée ; quelques notes de Keelhauled plus tard, je me trouve déjà expulsée du 4e aux alentours du 9e rang. Les bateaux pneumatiques, les requins pneumatiques et les fauteuils roulants pneumatiques slament et moi je lutte pour survivre à l’immersion, parce que mourir noyée à un concert d’Alestorm, ce serait quand même un comble.


Mes vidéos du concert ici.

Il est près de 2h30 lorsque le show se termine et que les festivaliers estiment qu’il est temps d’aller faire dodo boire l’apéro, une tradition du camping hellfestin. Tel un troupeau de zombies, on se dirige en masse vers la sortie et moi, bien loin de vouloir picoler, je n’ai envie que d’une chose : regagner le confort relatif de ma tente pour une nuit de sommeil relatif, histoire d’être relativement en forme pour le jour 2, et en particulier pour THE concert que je ne veux surtout pas louper. Arrivée à l’endroit où j’étais quasiment sûre d’avoir laissée ma tente ce midi, me voilà fort dépourvue de ne point l’y retrouver. Alors commence une quête qui n’a rien à envier à celle de Sam et Frodo vers la Montagne du Destin :

Lettrine trouvée sur http://careli.over-blog.com/article-lettrine-l-121872261.html

a Quête De La Tente d’Emeraude Sacrée Perdue

(ou comme le diraient nos amis anglophones : « The Quest For The Holy Lost Emerald…Tente »).

Oyez, Pucelles et damoiseaux,
Oyez la complainte de Camomille La Pas Si Rusée,
Qui de ses petons endoloris,
Parcourut dix-milles toises de route,
Et en son esprit empli de doute,
Dans la froide nuitée,
Commençait à s’égarer.

Pour la faire courte : j’ai cherché ma tente pendant 4 heures.
Four.
Fucking.
Hours.
Avec pour tout rempart contre le froid (parce que OUI, il faisait froid) un foulard que j’avais eu la bonne conscience d’emporter, au milieu des campeurs alcoolisés qui trouvaient fort rigolo de me voir passer et repasser armée de la lampe torche de mon téléphone, dont la batterie s’amenuisait dangereusement (alors qu’à la base chui pas venue ici pour souffrir, EUKAY ?) et de ceux qui cherchaient leur propre tente (je me sentais un peu moins seule). Et Gérard, me direz-vous, le valeureux Mini-pire censé garder mon bien ? Disparu lui aussi, probablement appâté par les sollicitations apéritives répétitives et parti se repaître du sang alcoolisé de quelque innocente festivalière. Je suis épuisée et pourtant je March, March, Great Swordmaster ; mon compteur de pas s’affole et me demande si je ne suis pas paumée quelque part en Sibérie ; s’alternent moments de brève détermination (« quitte à ne pas dormir du tout, je parcourrai les 25 hectares et examinerai les quelques 10 000 tentes Quechgnéuargh vertes de ce camping s’il le faut ») et de franc désespoir (« on m’a volé ma tente, ou alors on m’a volé Gérard, pi je sais même plus où je les avais laissééééés, pourquoi j’ai pas pris de photos des alentours avant de partir, pourqueuuuuuaaaaaaaa ???? »).
Plutôt que de me rouler en boule dans un coin, je finis par aller parler de mon petit soucis à l’accueil du camping, tout en me doutant qu’ils ne pourront pas y faire grand chose. Encore un grand merci à eux pour leur soutien moral et leur aide. Cherchant encore et toujours au milieu des ronflements et des premiers campeurs aux yeux cernés et plus ou moins vêtus (plutôt moins que plus en fait), émergeant de leur courte nuit pour prendre l’air ou satisfaire un besoin naturel dans les buissons, tandis que le soleil pointe à l’horizon, j’examine chaque tente verte pouvant ressembler de près ou de loin à ma mienne, quand soudain je l’aperçois. Gérard. MON Gérard. Accroché à cette tente Q. verte indubitablement semblable à la mienne, mais dans une position différente de laquelle je l’avais laissée. Courant au ralenti (la fatigue), je me jette sur ma tente à qui si elle avait eu une bouche, j’aurais roulé une grosse pelle (et celle de Gérard est trop petite, pi les crocs, ça pique). A la place je me contente d’ouvrir fébrilement la fermeture éclair et de rejoindre mes quartiers, enfin. Le prochain concert de mon running order est programmé à 12h15, je peux donc passer les 4 prochaines heures à dormi…ah mais en fait, il fait déjà trop chaud. Bon, pas grave, je vais aller cherche mon petit déjeuner, alors. Back to the light, mes voisins réveillés m’annoncent qu’en fait, ils ont déplacé ma tente pour pouvoir regrouper les leurs. Haha, hahaha, hahahahahahaha. ha ; allez, je vais aller quérir un thé et un petit pain au chocolat, avant de vous éventrer pour donner vos entrailles en pâture aux canards, bande de sacripants ♥.
Voilà, c’était LaQuêteDeLaPutainDeTenteVerteSacréePerdue et c’était sans aucun doute la partie la plus intéressante de ma note. D’ailleurs je viens de recevoir un coup de fil de Rhapsody of Fire, ils souhaiteraient l’adapter en chanson.

Je m’apprête autant que se puisse pour ne pas trop ressembler à une tête de mort (au moins, je suis dans le ton du festoche), puis direction la Mainstage II où je déniche une place à l’ombre, de laquelle je peux larver tout mon soûl en assistant au concert des Nantais d’Ultra Vomit. Mon moral remonte d’un cran, les mecs vous êtes tellement drôles, des Nanowar of Steel à la française, les véritables Michel Drucker de l’humour.


Fetus, si tu me lis.

Ils nous font entre autres offrande des chefs d’œuvres du 4e art que sont Je collectionne des canards vivants et Kammthaar et j’ai en cet instant une forte pensée pour mes nétasses Yuna et Néline qui ont passé la soirée en compagnie des vrais Rammstein ♥.

Mes vidéos du concert ici.

Bon, c’est pas le tout de rigoler, mais j’ai environ 5 heures à tuer jusqu’à mon prochain concert, que je décide de passer à manger (le goulasch c’est bon, mais peut-être pas le choix le plus pertinent par cette chaleur), dormir allongée dans l’herbe sous ma chère Temple (avant d’être réveillée en sursaut par la grosse voix du monsieur d’Ereb Altor), et surtout me préparer physiquement et émotionnellement à ce qui va suivre : car on approche du climax du week-end, à la principale raison de ma présence ici-bas, je veux parler du concert de mon groupe que j’aime d’amour : Turisas.

Ça va faire 10 ans que je me drogue au metal finlandais et pourtant, j’ai véritablement découvert Turisas il y a peu. Ou plutôt, je ne connaissais que leurs morceaux les plus connus. Puis un jour j’ai décidé de m’envoyer 1 album, puis 2 puis 3, puis 4…et depuis ils ne me quittent plus. J’ai découvert qu’ils étaient programmés au Hellfest et voilà comment tout a commencé. Chez Turisas il y a de la poésie, de l’aventure, des quêtes byzantines et surtout, des messages résolument positifs. Et bien entendu je kiffe leurs maquillages rouge et noir (Jeanne Mas approves). Mais revenons au concert ; je suis collée à la barrière, frémissante d’impatience en observant l’accordage des instruments par les 2 anciens membres Hanu et Tude (mais que font-ils là ?) et je ne pense même plus à la fatigue (merci adrénaline). Je veux juste vivre une heure à l’unisson avec Warlord, Jussi, Olli et les-nouveaux-membres-que-je-ne-connais-pas-encore-très-bien et je vous le dis tout net : je ne serai absolument pas objective durant les prochaines lignes.
ENFIN, la musique s’élève et les membres entrent un par un, puis les premières notes de To Holmgard and Beyond retentissent et Mathias-fucking-Warlord déboule sur scène, délivrant tout le potentiel de son énergie débordante. Le public répond immédiatement et sans trop de bousculades, merci ♥ (en revanche un nombre impressionnant de slameurs, j’en prends en moyenne 1 toutes les 10 secondes sur la tronche ; pensée pour les vigiles chargés de les récupérer, ils n’ont pas eu un week-end facile !). Le groupe enchaîne les morceaux issus de l’album The Varangian Way et pour cause : il s’agit d’un set spécial dixième anniversaire ! Autant dire que je suis au bord de l’hystérie. Entre 2 chansons, Warlord aborde des sujets très sérieux, comme l’importance de bien s’hydrater par cette chaleur et nous recommande de boire de l’eau, mais de la bière ce serait encore mieux. Bon, s’il le dit…

Coucou, le monsieur vigile 😀

Bien trop tôt, le show s’achève par Stand Up And Fight. Moi, je suis sur un petit nuage car je viens de vivre une heure démentielle que j’aurais voulu poursuivre encore et encore, et voilà que je quitte le chapiteau en réalisant une chose que je croyais impossible : je les aime encore plus qu’avant.

Mes vidéos du concert ici.
(Et pardon, je chante un peu.)

Maintenant que j’ai accompli l’un des buts ultimes de ma vie, je vais pouvoir terminer la soirée dans la sérénité, et quoi de mieux pour cela que les Finlandais (eh oui, encore) d’Apocalyptica ?
Vraie première prestation à laquelle j’assiste (je n’avais vu que la fin du concert gratuit qu’ils avaient donné à Bruxelles en 2006), les 4 violoncellistes et leur batteur reprennent des thèmes célèbres du répertoire heavy metal. C’est classe, c’est beau, c’est émouvant, aussi.

Mes vidéos du concert ici.

Au milieu d’une foule immense et compacte, je sens que mes jambes n’approuvent plus de me porter. Je vais donc m’asseoir un peu en retrait, puis m’éclipse finalement pour rejoindre tant bien que mal pour la dernière fois la Temple et assister à la fin de Wardruna. Principalement connu pour la BO de la série Vikings, ce groupe norvégien est une merveille et un délicieux retour à de l’ambient folk après deux jours de rock et de heavy metal. Je me laisse bercer par l’alliage hypnotique de leurs voix et des instruments qu’ils ont eux-mêmes fabriqués en se basant sur la symbolique des runes à partir de bois, d’eau ou de pierre et me voilà transportée dans un temps très ancien que les moins de 20000 ans ne peuvent pas connaîtreuh, où le Hellfest n’existait pas encore (ni le metal, d’ailleurs). Je regrette de ne pas avoir assisté à l’intégralité de leur concert mais Apocalyptica se déroulant en même temps, il a fallu trouver un compromis.

Un extrait du concert ici.

Je tente vainement d’assister à Aerosmith (grosse pensée pour Nia, à qui j’ai d’ailleurs pensé une bonne partie du week-end), mais déclare vite forfait pour aller me PIEUTER, histoire de me réveiller demain à une heure décente pour le départ. Et de toutes façons, j’entends très bien le concert depuis ma tente. Bercée par les convocations à l’apéro et autres chansons paillardes, j’ai soudain l’impression d’entendre dans un demi-sommeil quelqu’un répéter « les Turisas sont tous des PD ». Bien entendu je sors immédiatement de ma tente armée de mon épée bâtarde, prête à en découdre avec le blasphémateur avant de réaliser que ça ne parlait pas de Turisas mais de « Toulousains ». Bon, tout va bien, je peux retourner dormir.

Je me réveille comme une fleur fraîche à 7h30 et me prépare au grand départ. Je dis au revoir à Clisson et comme j’ai deux heures à tuer à Nantes, j’en profite pour aller faire un tour du côté du Château des Ducs de Bretagne.
Ainsi s’achève mon extraordinaire virée à Metaland et de retour chez moi je ne rêve que d’une chose : DOUCHE DOUCHE.

Un mot sur l’organisation : franchement, chapeau. Qu’il s’agisse de la sécurité, des contrôles à l’entrée tout en conservant une certaine fluidité, du nombre impressionnant de stands pour se sustenter et s’abreuver, du peu d’attente pour les WC à quelques exceptions près ou encore du timing respecté des concerts, on devine une organisation extrêmement minutieuse. Merci à tous pour ce week-end que j’ai moi aussi passé des mois à préparer, pour moi cette édition fut une réussite et il y a de fortes chances que je traîne de nouveau mes guêtres et ma tente (en espérant qu’elle se montrera moins farceuse !) pour la prochaine. Et je tâcherai cette fois venir accompagnée, parce que seule, c’est bien, mais à plusieurs ce sera tellement encore plus mieux !!!

A présent si vous voulez bien m’excuser, je dois aller soigner mon angine.

*Ce jeu de mots est sponsorisé par TF1, France 4, LCI, Le Huffington Post, BFM TV, Le Parisien, Chasse et Pêche…
**Ce jeu de mots est sponsorisé par France 3, Ouest-France, Liberation, Cosmopolitan, OK Podium, Le Monde, Le Figaro
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